5 JOURS D’OXYGÈNE
FÊTES DE BAYONNE 2016
(Extraits)
Le règne d’un Roi tant attendu qui a suscité dans un contexte particulier lors de cette édition bien des frissons,
alimentés parfois par une certaine déraison qui n’aura pas réussi à étouffer le souffle festif de ce rendez-vous,
inscrit au « patrimoine génétique » de la cité bayonnaise depuis 1932.
Ici des frissons de vie, aux rencontres aussi multiples que les visages que portent ces Fêtes. Rencontres souvent heureuses, parfois un peu plus douloureuses au contact câlin de bêtes sauvages, mais toujours harmonieuses liées entre moments traditionnels et créations hybrides.
Instants essentiellement captés le jour, le détaillant étant pressé de retrouver à la tombée de la nuit ses amis d’un jour ou de toujours pour religieusement appliquer, cette année plus que jamais, cette belle citation, en noir et blanc, que vous trouverez à la fin de ces extraits en guise de conclusion, qui guida aussi peut-être, particulièrement lors de cette édition, la foule à l’unisson.
Mention spéciale à une joyeuse association de grands enfants chanteurs qui fait aussi chanter les plus petits, et qui a encore marqué les esprits avec son traditionnel et toujours jubilatoire défilé du samedi. Un humour potache XXL qui aura provoqué l’hilarité de milliers de festayres dans ces rues empruntées, avec la complicité musicale de cafetiers qui en relais passèrent un morceau dont vous trouverez le titre sans grande difficulté.
Cortège antidote au morose qui connut ici une fin de course en apothéose, sur une place au nom tout destiné.
Celui de Liberté.
© Mathieu Prat - Tous droits réservés.
PARTAGEZ
UN PORTRAIT
UN MATIN DES FÊTES DE BAYONNE (2015)
(Place Saint André)
Des vaches et des festayres s'affrontent.
Un jeu d’adresse risqué se déroule dans l'enceinte.
Celui-ci consiste à essayer de glisser un anneau autour d'une corne.
Un anneau de bois se brise en deux.
Derrières les grilles de protection, un enfant récupère les morceaux.
Son grand père le recoiffe.
La simplicité.
Remerciements à la famille Fagalde.